Published On: 1 septembre 20253,4 min readCategories: Article, Nouveauté

« Le Nutriscope, un outil novateur pour une agriculture plus durable  » – Témoignage de Ludovic Durand, technico-commercial

Témoignage Nutriscope de Ludovic Durand

Je m’appelle Ludovic Durand, je suis technico-commercial chez SAS Tijou, à La Salle-de-Vihiers (49). Mon parcours m’a mené à m’intéresser depuis plusieurs années à une agriculture plus respectueuse des équilibres naturels, où chaque intervention a du sens. C’est dans cette logique que j’ai découvert le Nutriscope, un outil d’analyse des besoins de la plante qui m’accompagne aujourd’hui au quotidien dans mon travail auprès des agriculteurs.


Un outil découvert chez Vertal, et qui ne m’a plus quitté

J’ai connu le Nutriscope au printemps 2024, alors que je travaillais chez Vertal, une entreprise déjà très engagée dans l’agriculture naturelle. C’est à cette période que j’ai croisé l’équipe de Senseen sur un salon professionnel. J’ai tout de suite été intrigué par l’outil, par ce qu’il permettait de lire dans la plante. On pourrait dire que c’est l’équivalent d’une prise de sang pour les végétaux : on comprend leurs besoins, leurs carences, leurs équilibres.

Depuis mon arrivée chez Tijou, j’ai tenu à m’équiper à nouveau du Nutriscope, avec la pince à feuille, l’abonnement minéraux et l’accès au portail. Ce trio me permet de collecter des données précises que je peux ensuite partager avec les agriculteurs. Je peux leur expliquer pourquoi on apporte tel ou tel produit, et surtout justifier les traitements. C’est un véritable outil d’aide à la décision.


Une approche globale et vertueuse

Ce que j’aime dans cette approche, c’est la vision holistique. Le sol nourrit la plante, la plante nourrit l’animal, et l’animal nourrit l’homme. En optimisant le premier maillon de cette chaîne, on améliore tout le reste. Avec le Nutriscope, on peut mieux nourrir la plante, mieux gérer les coûts et aller vers une agriculture plus autonome.

Je l’utilise principalement sur des cultures de blé, colza et maïs, à la fois en préventif, pour anticiper les besoins, et en contrôle, pour vérifier l’efficacité des apports. Bien sûr, je manque de temps pour repasser partout, mais l’idée est toujours d’accompagner les agriculteurs dans leur démarche. Beaucoup sont sceptiques au départ, mais lorsqu’ils voient les résultats et la pertinence des analyses, leur regard sur le Nutriscope change.


Redox, minéraux : une double lecture essentielle

Chez Vertal, nous parlions déjà depuis des années du Redox (la bioélectronique), donc j’étais déjà familier avec ces notions. En revanche, sur les minéraux et oligo-éléments, je suis encore en phase d’apprentissage. Mais ce que je découvre tous les jours, c’est à quel point chaque élément a sa place et son rôle à jouer. Le Nutriscope m’aide à affiner le conseil et à proposer des solutions plus justes et personnalisées.


Un outil de confiance, loin de l’approximation

D’autres outils existent : le kit Husson, le N Tester ou les analyses de sève que je pratiquais avant d’avoir le Nutriscope. Ils ne sont pas dénués d’intérêt, mais j’ai trouvé en ce Nutriscope un outil fiable, complet et cohérent. Certes, faire 15 mesures peut paraître un peu long, mais cela reste plus représentatif qu’un échantillon unique.


Le Nutriscope, pour les agriculteurs connectés à demain

Je recommande le Nutriscope. C’est un outil pour ceux qui veulent comprendre et anticiper, ils seront connectés avec l’agriculture de demain. Il permet d’apporter à la plante exactement ce dont elle a besoin. En ces temps où les enjeux climatiques et économiques sont cruciaux, on ne peut plus se permettre d’agir à l’aveugle.


En résumé ?

Le Nutriscope, c’est un outil novateur, l’outil de demain. Il nous aide à répondre aux enjeux agricoles actuels avec précision et responsabilité. Ce n’est pas de l’approximation : c’est une manière de travailler qui respecte le vivant, optimise les ressources, et construit une agriculture plus durable.

 

Partager cet article

Les derniers articles

Aller en haut